Lodz, cette ville polonaise où Whirlpool délocalise

Avec : Anna Olczak, vice-directrice de l'Alliance française de Lodz ; Grégoire Brault, directeur de l'Alliance française de Lodz ; Magdalena Prasol, chargée de mission EC1 ; Adam Pustelnik, bureau des investissements de la mairie de Lodz ; Michel Macardier, PDG de Nowa Skola ; Augustin de Buyer, étudiant ; Dorota Piotrowska, directrice adjointe Lodz University of Technology

Cette semaine, le Grand format prend la route de l'Est et se rend à Lodz, ville industrielle de Pologne où le fabricant américain délocalise son site d'Amiens. Un travail moins coûteux et surtout plus flexible : notre équipe interroge les raisons d'une délocalisation qui menace près de 300 emplois.

L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Fin janvier 2017, les employés de l’usine de Whirlpool d’Amiens, spécialisée dans la fabrication de sèche-linge, apprenaient que l’entreprise américaine allait redéployer son activité à l’est de l’Europe : en Pologne. Bilan : 300 emplois menacés par cette délocalisation, dans un pays où produire ces machines coûte moins cher. Une heure de travail en Pologne coût en effet moins de 8 euros de l’heure contre 38 euros en France.

Notre équipe est partie à Łódź, troisième ville du pays à l’histoire industrielle ancienne, pour comprendre les raisons de ce choix. Les bas salaires ne sont pas l’unique raison de la délocalisation : le marché du travail polonais permet une plus grande flexibilité, et Łódź est en train de vivre, après des années de repli économique, un second souffle de croissance économique.

En visite le 16 mars à Amiens, le premier ministre Bernard Cazeneuve avait annoncé un plan de revitalisation à hauteur de 220 millions d’euros. Les négociations se poursuivent entre l’Etat, les collectivités, les syndicats et un éventuel repreneur.

 

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information